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300 millions d’années ! Cette peau a 300 millions d’années. La plus vieille jamais retrouvée

À qui appartient cette peau vieille de 300 millions d'années et comment elle va influencer les prochaines découvertes scientifiques en rapport avec l'évolution de l'humanité ? Une découverte des plus intrigantes qui ne nous laissera pas indifférent !

Comment la peau a évolué depuis le Big Bang jusqu'à nos jours ? Si cette question vous intrigue, il faut croire que cette découverte va apporter la lumière sur le sujet ! En effet, d'anciens fragments de peau fossilisée, vieux de plus de 300 millions d'années ont été découverts dans une grotte aux États-Unis. Jusqu'à ce jour, c'est le plus vieil échantillon de peau appartenant à un reptile jamais découvert. De quoi aider à faire une percée scientifique majeure sur l'évolution des premiers vertébrés terrestres !

Une peau de crocodile de 300 millions d'années pour comprendre l'évolution des vertébrés ?

Cette collection de fragments de peau fossilisés vieux de 300 millions d'années appartenaient à un reptile de type crocodile. Ils pourraient nous aider à comprendre l'évolution de la peau. Bien que la peau se décompose rapidement après la mort, cette dernière s'est fossilisée. Elle a demeuré intacte même après plusieurs millions d'années.

En effet, la peau de cette espèce de reptile paléozoïque s'est retrouvée au bon endroit pour se fossiliser. Après sa mort, elle s'est retrouvée enterrée dans des sédiments argileux huileux dans une ancienne grotte de calcaire de l'Oklahoma.

Comment cette peau avait été préservée malgré la particularité de la peau à se détériorer rapidement ?

Ses conditions de préservation ont fait que cette peau de reptile vieille de 300 ans n'a pas été altérée au fil des années. Les sédiments de la grotte où elle s'est retrouvée contenaient peu d'oxygène, ce qui a ralenti le processus de décomposition suffisamment longtemps pour que le tissu se fossilise, emprisonnant un moulage de sa peau momifiée.

La découverte a surpris les chercheurs qui examinaient les minuscules fragments fossiles noirs à l'aide de scanners 3D microscopiques. L'un des chercheurs de l'université de Toronto, au Canada, avait affirmé qu'ils avaient dû être très prudents dans la manipulation. Cela était dû à la petite taille et la finesse du fragment.

Leurs scanners ont révélé une texture caillouteuse d'écailles ressemblant à la peau de crocodile. Pas plus gros qu'un ongle, ce fossile révèle la présence de tissu épidermique. Il ressemble plus précisément aux écailles plus plates et plus petites d'un crocodile situées sur son flanc.

Cette découverte scientifique est extrêmement rare. Elle apportera une contribution significative à la science en permettant de mieux comprendre l'évolution des premiers vertébrés terrestres. Qui plus est, elle va offrir des informations précieuses sur la composition et la structure de la peau des premiers animaux terrestres. Cela va aider les scientifiques à mieux comprendre l'adaptation des premiers reptiles à leur environnement. C'est aussi une excellente manière de mieux appréhender l'évolution des vertébrés terrestres !

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