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Test mini drones Jumping Race et Jumping Night de Parrot

Minidrones 2 jumping night et jumping race Parrot

Le gourou des drones propose une nouvelle série de mini drones à piloter depuis son smartphone au sol. Dignes descendants du Jumping Sumo, Jumping Race et Jumping Night débarquent. Que faut-il attendre de ces deux nouveaux engins ? Réponse dans ce

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Marque : Parrot

Prix public conseillé : 199€ 

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Testé avec un 6

Compatibilité : iOS et , Bluetooth 4.0

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Unboxing du Jumping Race

Jumping Race et Jumping Night sont proposés dans une boîte en carton noire avec une photo du drone choisi. Sur le côté de chaque boîte, tous les modèles de drones sont visibles en miniatures, avec la version achetée cochée pour un effet collection. À l’intérieur on retrouve le drone, un autocollant, une batterie et un câble de chargement. La présentation est soignée, rien n’est laissé au hasard par Parrot.

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Design & Finition

Jumping Race ressemble à son prédécesseur. Tout comme le Jumping Sumo, il dispose d’une petite caméra à l’avant. Nouveautés : un haut-parleur et un micro ont été ajoutés pour permettre d’interagir avec les personnes autour. Le nouveau modèle possède des roues plus larges, qui lui donnent un air de mini voiture de F1 qu’on soit en pleine rue ou en intérieur.  Trois modèles sont disponibles, le , en rouge; le Tuk-Tuk, en jaune; et le Jett en blanc avec des flammes à coller sur le drone.

Jumping Night, garde lui aussi la même forme que Jumping Sumo et Race. Il possède deux LEDs afin de voir où on met les roues dans la pénombre. Les roues sont beaucoup plus fines que le Race bien qu’il soit tout à fait possible de les échanger entre eux, mais cela n’a aucune incidence sur la vitesse des drones. Micro et haut-parleur sont également de la partie avec ce modèle.

Application

Au niveau de l’application, rien de vraiment nouveau, les utilisateurs peuvent garder leurs bonnes vieilles habitudes que ce soit avec le Race que le Night. De petits ajouts ont été faits, notamment pour permettre aux engins de communiquer, avec une option pour activer le microphone. Pour le Night, une fonctionnalité supplémentaire : le paramétrage des LEDs, qui peuvent éclairer de manière continue et envoyer des signaux.

Il est possible de régler l’intensité de la lumière en fonction de son choix. Grâce à la caméra, on pilote le drone d’avant en arrière sans oublier les côtés avec la possibilité de le faire tourner brusquement à 90° ou 180°. Rien de bien nouveau donc, quelques crashs sont tout de même à noter, c’est plutôt dommage.

Utilisation et Prise en main

Le secret, c’est le doigté. Avec une appli très simple à comprendre et utiliser, il ne reste plus qu’à se lancer. Les premiers essais sont forcément fastidieux, le temps de s’habituer aux commandes et apprendre à bien coordonner ses mouvements. Après quelques gamelles et embrassades plus ou moins violentes avec le mur, le pilotage se simplifie. Heureusement, les appareils sont suffisamment solides pour endurer les chocs.

Deux possibilités s’offrent aux utilisateurs du Race : une conduite avec les roues écartées, à choisir plutôt lorsqu’on souhaite faire des courses sur une piste lisse. Et une conduite avec les roues rétractées, pour les espaces étroits. Race et Night ont tous deux la possibilité, comme Jumping Sumo, d’effectuer des sauts verticaux de 80 cm. Si Jumping Night garde une vitesse de pointe de 7km/h, Jumping Race peut quant à lui monter jusqu’à 14 km/h, on sent la différence ! Les 4Go de mémoire des deux drones permettent de filmer en vidéo les parcours, courses poursuites, acrobaties de ces petites terreurs.

Si vous pensiez que c’était terminé, détrompez-vous. Les deux appareils intègrent tout deux une caméra de bonne qualité qui vous permettra d’enregistrer toutes vos folles courses avec vos potes. Un micro est aussi de la partie pour vraiment tout capter. Le rendu final est impressionnant de fluidité, malgré une excellente résolution. Qui plus est, un haut parleur est intégré, assez gadget mais qui devrait faire le plaisir des plus jeunes. À noter, un nouveau système de ressors. On ne le remarque d’ailleurs pas particulièrement. Les sauts sont toujours aussi efficaces.

Autonomie des minidrones Jumping

Si une chose reste éternellement décevante, que ce soit sur le Sumo, le Race ou le Night c’est bien l’autonomie. Certes elle augmente légèrement, et passe à 20 minutes. 20 tristes petites minutes pour jouer les casse-cous avec son drone… qui vont en forcer plus d’un à interrompre leur session après-midi course et parcours pour aller recharger la batterie. Heureusement, cela ne prend pas des heures, il faut compter environ 30 minutes (sur secteur) avant de pouvoir repartir, mais c’est tout de même dommage…

Jumping Race et Night valent-ils le coup ?

Malgré une faible autonomie, la réponse est oui, oui, oui, et re oui. Les deux nouveaux modèles disposent tout de même de nombreuses fonctionnalités et promettent de nombreuses sessions (de 20 minutes à défaut d’heures) de jeu. Le fait de pouvoir interagir avec d’autres personnes est un petit plus amusant, sans compter sur les LEDs de nuit pour la version Night. La mémoire interne de 4Go, permettant d’enregistrer ses performances est un véritable plus. Le rapport qualité-prix est donc tout à fait correct pour les deux drones.

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De haut en bas : Jumping Race, Jumping Night et Jumping Sumo

Conclusion

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> Design sympa qui rappelle un de Formule 1
> La vitesse de pointe à 14 km/h
> Le micro et le haut-parleur
> Le fait de pouvoir conduire avec deux modes [/su_box]

[su_box title= »Les moins de Jumping Race » box_color= »#bd1507″]
> L’autonomie [/su_box]

[su_box title= »Les plus de Jumping Night » box_color= »#0ca206″]

> Les LEDs pour conduire de nuit
> Pouvoir régler l’intensité de la lumière depuis l’application
> La possibilité d’échanger les roues avec le Race [/su_box]

[su_box title= »Les moins de Jumping Night » box_color= »#bd1507″]
> L’autonomie [/su_box]

Jumping Race et Jumping Night ont tous les atouts nécessaires pour séduire petits et grands avec de nombreuses fonctionnalités et nouveautés. Seule ombre sur le tableau l’autonomie décevante des deux mini drones. Néanmoins ce défaut est compensé par les bons moments offerts par les appareils et par un rapport qualité-prix tout à fait correct.

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Bonjour à tous ! Mon nom est Elisa, et si vous êtes autant fasciné par les merveilles technologiques que je le suis, alors vous êtes au bon endroit. Ma position chez technplay.com me permet de combiner ma curiosité naturelle et mon expertise en matière de gadgets et de hardware, et...

1 commentaires

Un commentaire

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  1. Bonjour,

    merci pour ce super test, petite question à laquelle vous n’avez peut être pas la réponse…

    Je souhaiterais intégrer ce drone dans un jeu, et j’aurai besoin de l’allumer dans une pièce 30 minutes avant le début de son utilisation. Savez-vous si l’autonomie sera par conséquent déjà épuisée ?

    Merci !

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