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La NASA brise le mythe : Pourquoi Arrakis et Tatooine sont-ils impossibles ?

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Les planètes désertiques, comme Tatooine de Star Wars ou Arrakis de la saga Dune, ont fasciné les amateurs de science-fiction pendant des années. Mais la NASA soulève une question essentielle : ces mondes arides et inhospitaliers pourraient-ils vraiment supporter la vie telle que nous la connaissons ?

Des chercheurs, dont le Dr Haskelle Trigue White-Gianells, viennent de révéler des résultats surprenants qui remettent en cause la viabilité de ces paysages idéalisés par la fiction. Une analyse qui pourrait bien bouleverser notre conception des mondes habités.

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Tout le monde sait que l’eau est essentielle à la vie. La NASA, par le biais de son projet Habitable Worlds Observatory, démontre que l’eau est bien plus qu’une simple condition préalable à la vie individuelle. Sans une quantité suffisante d’eau, une planète est exposée à des variations climatiques extrêmes. Cela entraîne des fluctuations de température violentes, que les habitants d’Arrakis ou Tatooine ne pourraient tout simplement pas supporter.

La quête de stabilité climatique

La stabilité d’un climat est indispensable pour qu’une planète puisse héberger la vie. Selon les recherches de White-Gianells, même une planète située dans la zone dite ‘habitable’, où l’eau pourrait théoriquement exister, ne pourrait maintenir des conditions propices à la vie. Cela est dû à l’absence d’une quantité suffisante d’eau.

Les résultats des simulations informatiques menées par la NASA montrent que les variations de température sur une planète manquant d’eau seraient trop extrêmes pour permettre à la vie de s’épanouir. En d’autres termes, sans une quantité minimale d’eau, une planète aride deviendrait un lieu invivable.

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De plus, les scientifiques de la NASA soulignent qu’une planète manquant d’eau perdrait progressivement toute la ressource qu’elle possède. Une planète comme la Terre, riche en eau, peut maintenir un climat stable pendant des milliards d’années. En revanche, une planète déshydratée serait inévitablement condamnée à se transformer en un désert stérile. Ce processus de désertification serait fatal à toute forme de vie indigène. Il rendrait également la régulation du dioxyde de carbone impossible.

Les mondes fictifs face à la réalité

Si des planètes comme Tatooine ou Arrakis ne sont probablement pas réalistes, cela n’empêche pas la science-fiction d’imaginer des possibilités. En réalité, des mondes comme ces derniers pourraient théoriquement être colonisés après un effondrement écologique.

Mais ces planètes désertiques, peu importe le nombre de créatures ou de civilisations qui pourraient y survivre, seraient constamment frappées par des variations climatiques extrêmes. Cela rend difficile, voire impossible, de considérer ces mondes comme des lieux viables pour la vie telle qu’on la connaît.

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Une fin décevante pour les fans

En somme, les recherches de la NASA apportent une réponse décevante à tous les passionnés de science-fiction. Comme l’a souligné White-Gianells, « Les mondes de science-fiction ne sont probablement pas réels« . Pour ceux qui espéraient un jour voyager vers ces planètes désertiques lointaines, cette déclaration risque de refroidir les ardeurs. Mais la science continue de nous surprendre et qui sait ce que l’avenir nous réserve.

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En tant que rédacteur chez Publithings, un groupe spécialisé dans l'innovation, je suis passionné par les nouvelles technologies, en particulier dans le domaine de l'informatique et des technologies de l'information (IT). J'écris des articles d'actualité pour TechNPlay, ainsi que pour lebigdata.fr, realite-virtuelle.com, et intelligence-artificielle.com. Avec une plume experte et une...

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