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Renaissance = Naufrage ? Pourquoi ce nouveau Jurassic World fait pleurer les fans…

Jurassic World Rebirth

Apparemment, ce n’est pas que Disney après Blanche Neige, Pixar après Elio et Marvel avec Ironheart qui sont atteint du virus de la nullité. Le film Jurassic World : Renaissance des studios Universal a été mal vu par les fans. Eh oui, cette expérience cinématographique s’est révélée être un véritable désastre. 

Au mieux, le film est moyen. Mais il semble que les créateurs n’aient aucun respect pour le public de la première heure en ayant créé ce navet. Voici les différents avis récoltés sur le sujet.

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Des personnages assez plats

Dans Jurassic World Renaissance, on s’attendait tous à ce que le film soit bien accueilli par les critiques vu le super casting d’acteurs célèbres qui y joue. Mais apparemment, Scarlett Johansson, Mahershala Ali, Jonathan Bailey et Rupert Friend n’ont pas réussi à le faire apprécier par tous

Les personnages qu’ils incarnent sont tous tellement clichés qu’ils n’accrochent pas. D’autant que l’histoire n’a ni queue ni tête. Mais bon sens, pourquoi une gentille famille se retrouve-t-elle prise dans le feu de l’action ? Pourquoi se trouvent-ils sur une île interdite peuplée de dinosaures ? C’est facile de partir en vacances dans ce genre d’endroit ?

Il est vraiment difficile de s’investir dans les destinées de ces protagonistes. Pendant la projection de ce film en salles, plusieurs spectateurs se levaient pour aller aux toilettes, indifférents à ce qu’ils manquaient. Cela en dit long sur l’impact du film.

Un méchant raté selon les critiques

La grande révélation du méchant final est complètement ratée. Le dinosaure mutant, censé être l’apogée de l’intrigue, apparaît à peine à l’écran et ressemble à un mélange grotesque entre un dinosaure et un Xénomorphe. Bref, on a l’impression d’avoir affaire à un Alien géant mal conçu, ce qui est décevant. Ce choix de design laisse à désirer et ne parvient pas à susciter l’excitation attendue.

Un début marqué par des scènes absurdes

Pour suivre, dès les cinq premières minutes de Jurassic World Renaissance, le film nous plonge dans une histoire qui n’a rien à voir avec ce qui s’était passé dans les films précédents.

On a un flashback sur un laboratoire secret où des dinosaures mutants sont créés. Puis, tout commence avec un personnage qui mange un Snickers tout en portant une visière relevée. Cet élément comique, loin d’être divertissant, souligne le manque de sérieux du film.

L’emballage du bonbon est aspiré dans un mécanisme de porte, provoquant la fuite du dinosaure mutant. Une introduction qui laisse perplexe et qui donne le ton pour le reste du film.

Contre des dinosaures dangereux on n’utilise pas d’armes ?

Puis, un des plus gros reproches concerne l’absence d’armes sur cette île qualifiée de très dangereuse. Les mercenaires, censés être des professionnels, semblent inexplicablement désarmés.

Dans un scénario où des milliards de dollars sont en jeu, il est incompréhensible qu’ils n’aient pas d’armes à feu dignes de ce nom. Tous les films Jurassic ont montré cette facette, pourquoi pas celui-ci ? La seule arme visible est un blaster inefficace.

Et même cela ne parvient pas à créer une tension palpable. Comment voulez-vous qu’on croit qu’il est possible de calmer un dinosaure carnivore avec une seule arme ? Les tentatives de justifier cette absence d’armement tombent à plat, laissant le spectateur frustré.

Jurassic World Renaissance a une intrigue incohérente

Par la suite, l’intrigue tourne autour d’un dirigeant d’une entreprise pharmaceutique qui engage des mercenaires pour aller sur la fameuse île des dinosaures pour prélever du sang afin de développer un médicament. C’est compréhensible dans un sens.

Mais franchement, l’ajout très maladroit du père qui emmène ses filles et leur petit ami en vacances, est totalement irréaliste. Ce type de scénario absurde se répète tout au long du film, rendant l’expérience encore plus insupportable.

Quelles scènes ont été intéressantes ?

Heureusement, le film n’est pas tout à fait à jeter aux ordures. Quelques scènes sortent du lot. Une est inspirée des Dents de la mer et une autre mettant en scène des vélociraptors. Cependant, même ces moments intéressants sont noyés dans un océan de clichés et de situations ridicules.

La fin, avec le dinosaure mutant, ne parvient pas à offrir une conclusion satisfaisante, laissant le spectateur sur sa faim. Jurassic World : Renaissance semble donc destiné à un public qui ne cherche pas à réfléchir. De ce fait, avis aux puristes, passez votre chemin, vous risquez juste d’avoir une migraine épouvantable.

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Au cœur de l'équipe TechNPlay, en tant que rédactrice en chef, je suis votre sentinelle dédiée à l'univers fascinant des montres connectées et des véhicules électriques. Etant donné que la technologie évolue à la vitesse de la lumière, ces petits bijoux technologiques suscitent mon admiration et ma curiosité. Chaque avancée...

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